Sommaire
Les produits associés
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Flower Power
Pour des cycles menstruels plus doux
- Anti-inflammatoire
- Antispasmodique
- Réduit les douleurs
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Eternitea
La ménopause en toute sérénité
- Soulage les bouffées de chaleur
- Réduit les sueurs nocturnes
- Favorise la régulation hormonale
OCTOBRE ROSE : AVANCÉES SUR LE CANCER DU SEIN ET GUIDE D’AUTO-EXAMEN


Aujourd’hui encore, le cancer du sein est le cancer le plus fréquent en France, avec plus de 60 000 nouveaux cas par an. Et il est la première cause de mortalité par cancer chez les femmes. D’où l’intérêt de se faire dépister régulièrement : lors d’un rendez-vous annuel chez un gynécologue ou une sage-femme à tout âge, où dans le cadre du programme de dépistage par mammographie proposé à toutes les femmes entre 50 et 74 ans.
Cependant, des progrès sont faits chaque année, et le taux de survie est aujourd'hui de 88% à 5 ans.
En 2024, deux nouveaux traitements ont notamment été présentés au congrès européen de l’ESMO (Société Européenne d’Oncologie Médicale).
Une étude vient de montrer que la radiothérapie hypofractionnée, de 15 séances sur 3 semaines, était aussi efficace que celle de 25 séances sur 5 semaines et ne provoquait pas davantage d’effets secondaires. Et cela aussi bien pour les cancers du sein localisés sans atteinte ganglionnaire que pour ceux avec atteinte ganglionnaire.
Cette nouvelle va permettre d’améliorer la qualité de vie des patients en réduisant la durée de leur traitement.
Par ailleurs, les résultats prometteurs d’ une étude réalisée il y a 2 ans, en 2022, viennent d’être confirmés : l’administration de pembrolizumab (une immunothérapie anti-PD1) avant et après la chirurgie permet de réduire de 35% le risque de rechute à 6 ans chez les patientes atteintes d’un cancer du sein triple négatif, au stade 2 ou 3. Et cela réduit également le risque de décès de 34%.
En parallèle de ces avancées, l'important reste toujours d'essayer de dépister son cancer le plus tôt possible. Le traitement sera moins lourd, moins long, et ses résultats seront d'autant meilleures.
Pour cela, la ligue contre le cancer vous a partagé ce guide de l’auto-palpation, afin de réaliser chez vous, tous les mois, un auto-examen. De quoi vérifier l’absence ou non d’anomalie sans attendre votre rendez-vous annuel chez votre gynécologue.
D’ici là, prenez soin de vous et passez un beau mois d’Octobre Rose !


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Flower Power
Pour des cycles menstruels plus doux
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- Anti-inflammatoire
- Antispasmodique
- Réduit les douleurs
ALLERGIES ALIMENTAIRES : RÉDUIRE LES RISQUES


Chanceux sont ceux qui ont réussi jusqu'à présent à passer à côté des allergies alimentaires. Car avec des symptômes tels que l’urticaire, les problèmes respiratoires ou encore les vomissements, elles peuvent vite s’avérer problématiques. D’après le Centre de Contrôle des Maladies, elles toucheraient davantage les enfants (8% d’entre eux) que les adultes (6,2%). Et, cette fois-ci d’après le Réseau d’allergo-vigilance, elles seraient chez les enfants en hausse de 300% ces 20 dernières années en France.
Mais avant toute chose, en quoi consiste une allergie alimentaire ? Contrairement aux intolérances, elles proviennent d'une réponse du système immunitaire, qui apparait lorsque l’organisme estime par erreur qu’une protéine étrangère inoffensive est dangereuse. Il produit alors des anticorps qui iront se fixer sur les globules blancs et libèreront au passage de l’histamine, responsable des réactions allergiques.
À quoi sont dus ces dérèglements du système immunitaire ? Cela pourrait venir de facteurs génétiques et/ou de facteurs environnementaux. Si la génétique n’explique pas la hausse aussi forte des allergies, on sait cependant qu’un enfant aura plus de risques de souffrir d’allergies alimentaires si ses deux parents souffrent d’allergies, y compris saisonnières.
Certaines études se sont penchées sur les causes possibles de cette évolution. Il semblerait que le fait de réduire, ou retarder, notre exposition aux allergènes pourrait provoquer la hausse du risque de développer une allergie à l’avenir. Cela pourrait expliquer pourquoi il y aurait moins d’allergies à la campagne qu’à la ville, où les modes de vie sont plus hygiénistes et moins tournés vers l’extérieur. Il faudrait donc faire consommer des potentiels allergènes aux enfants durant leurs 100 premiers jours. D’autres études complètent ce constat en expliquant qu’à l’inverse, le risque d’allergie augmenterait si l’enfant venait à être à des traces d’allergène par inhalation ou toucher avant d’en consommer.
En conclusion ?
Pour prévenir le risque d’allergie alimentaire, il est important de faire consommer des allergènes aux enfants dans leur première année. L’ étude LEAP a ainsi démontré que donner à manger des arachides aux enfants avant leur 1 an réduisait de 81% le risque de développer une allergie aux arachides avant l’âge de cinq ans.
Mais bien sûr, si vous constatez une réaction chez l’enfant lors de sa consommation, ne réitérez pas l’expérience avant d’avoir consulté un allergologue !
Voici une innovation bien sympathique pour les personnes souffrant d’allergies alimentaires. Et elle nous vient de deux étudiants toulousains ! L’application Allergenius permet de scanner les codes-barres des produits pour identifier les allergènes potentiels qu’ils pourraient contenir. Pour la télécharger, c’est par ici.


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Digestea
Apaise les inconforts digestifs
Mélisse, pomme, menthe, citron & thym | Plantes certifiées bio | Formulé par un pharmacien | Sans caféine | 28 sachets en coton biodégradables
- Hydratant
- Facilite la digestion
- Réduit les ballonnements
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La ménopause en toute sérénité
- Soulage les bouffées de chaleur
- Réduit les sueurs nocturnes
- Favorise la régulation hormonale